mercredi 7 septembre 2011

Dominique Strauss-Kahn a choisi le 20h de Claire Chazal

Dominique Strauss-Kahn a choisi le 20h de Claire Chazal



Depuis son retour en France, Dominique Strauss-Kahn pourrait offrir sa première interview à Claire Chazal.

C'est France Soir qui sort l'info, mais depuis, TF1 n'a ni confirmé, ni infirmé la nouvelle.
Courtisé également par France 2, DSK aurait finalement choisit TF1 pour faire, comme annoncé, sa première interview française depuis son retour de New York le 4 septembre dernier.
Et dans la course à l'exclusivité, c'est Claire Chazal, pour un de ses JT du weekend, qui aurait donc eu les faveurs de l'ancien patron du FMI, plutôt queLaurence Ferrari. Un choix stratégique certainement, mais de la part de qui : de la chaine ou de l'ancien favori à la primaire socialiste ?
Discrets et silencieux malgré leur retour très médiatiqueDominique Strauss-Kahnet Anne Sinclair (ancienne de la maison TF1) ont trouvé refuge Place des Vosges à Paris.
Que ce soit sur TF1 ou France 2, les Français attendent beaucoup de cette interview, eux qui ont suivi avec passion cette affaire DSK qui les aura tenus en haleine depuis le printemps. Et Martine Aubry, François Hollande et Ségolène Royal attendent de savoir auprès de qui il a l'intention de se ranger...



Claire Chazal s'était confiée à Marc-Olivier Fogiel pour TV Magazine. Dans cette interview, la journaliste de TF1 est revenue sur le sort de son ancienne consoeur, Anne Sinclair, en pleine tourmente avec l'affaire DSK.
Pour Claire Chazal, c'est dommage qu'Anne Sinclair ait du abandonner le journalisme : "Je crois qu'une femme journaliste indépendante comme elle [Anne Sinclair], ou comme Béatrice Schönberg ou Audrey Pulvar, n'est pas obligée d'abandonner son métier parce que son compagnon ou son conjoint fait une carrière politique".

Quant à l'affaire Dominique Strauss-Kahn, la reine du PAF essaie de garder de la distance : "C'est toujours plus difficile quand on connaît les gens depuis longtemps, forcément, on imagine... On se pose des questions... On compatit avec leur entourage... Néanmoins, cela ne m'empêche pas, avec la rédaction et mon équipe, de faire mon métier avec rigueur et d'être attentive à la victime présumée".

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