mercredi 11 janvier 2012

Après la grèce, l' euro zone met l'Italie sous tutelle du FMI

  
Après la Grèce au tour de l'Italie


Le FMI revient de Rome, où deux de ses agents ont parlé avec les autorités mises en place par Mari Monti.
La situation budgétaire a été bien entendu au coeur des discutions a tenu à préciser un responsable de l'institution monétaire.


Le calendrier des différentes rencontres prévues entre Rome et le FMI a été fixé d'un commun accord. dsormais, à intervale régiliers les inspecteurs seront tenus au courant "en temps réel" de la situation budgétaire italienne.


Mario Monti a demandé des son arrivé au puvoir le suivi de la réduction du déficit budgétaire par le FMI. Un rapport sera émis tous les trois mois par le Fonds afin de faire état des progrès de la péninsule italienne.


La première visite à Rome du FMI était fixé pour le mois de novembre. Mais Mario Monti a demandé un délai, le temps de pouvoir prendre connaissance des comptes de l'Italie.
                                     les idiots utiles du FMI ?
Les relations avec Mario Monti sont meilleures qu'avec Silvio Berlusconi accusé par le FMI de rester sans réactions positives face à l'envolée des taux obligataires italiens sur les marchés.


"Rien d'important ne s'est passé en Italie cet été. Des que l'Italie a été considéré comme un placement à rique, cette image a perduré", a déclaré l'économiste du FMI, Olivier Blanchard.


Après le départ de M. Berlusconi , très décrié chez lui, , l'accession au pouvoir de Mario Monti au pouvoir a été perçu comme une bonne nouvelle par le fonds monétaire, son gouvernement a rassuré les investisseurs.


M. Monti a déclaré des son arrivée en temps que premier ministre qu'il "aimait la surveillance", selon lui,  "il est toujours d'utilité de se voir fixer des objectifs".


Lors de son rapport annuel sur l'Italie, paru en juillet, le FMI avait lancé  critiques sévères concernant sa gestion: réformes au ralenti estimations de croissance trop élevées, gaspillage des fonds publics, déséquilibre du régime fiscal, bureaucratie trop lourde et inefficace dans le Nord et trop grande abscense l'Etat de droit dau sud, mafia et corruption faisant la loi.


M. Blanchard a reconnu que mario Monti a vu sa marge de manoeuvre se rétrrécir.


"Plus le niveau des déficits sont importants, et plus le risque d'ètre insolvable et de plus plus pouvoir honorer ses engagements financiers est grands". 


L'Italie va devoir jouer serré.

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