samedi 12 mai 2012

Dette publique et loi Pompidou Rothschild Giscard de 1973 ou la fin des nations

Les derniers instants d’une fausse démocratie à crédit.



Ce sont les banques privées qui nous gouvernent depuis 1973, merci messieurs Giscard et Pompidou :

Le baron Guy-Édouard-Alphonse-Paul de Rothschild, est un banquier français né le 21 mai 1909 à Paris et mort le 12 juin 2007 à Paris.
Il a présidé la banque Rothschild-Paris de 1967 à 1979, nationalisée en 1982, et de nombreuses autres sociétés françaises et étrangères.
Ayant pris sous son aile Georges Pompidou dès 1954, il en fit un associé extérieur. Il resta proche de lui quand ce dernier devint président de la République en 1969.(wikipédia)



La dette de la France colossale n'est en faite qu'un dette aux banques qui pretent de l'argent aux gouvernements et je mets ça au pluriel car c'est valable pour le monde entier. 
Il y a de l'argent en France, c'est une certitude mais il est plus facile de faire payer les classes moyennes que de taper dans le portefeuille des plus riches.


Hélas beaucoup ne comprennent pas encore que nous sommes entrés dans une gouvernance mondiale de l'argent, visant à asservir une population de plus en plus importantes au profit de quelques centaines de milliers de privilégiés.



La loi de 1973 nous amène au bord de la ruine et nous n’aurions jamais du laisser notre souveraineté ainsi que notre capacité à battre monnaie (ce droit régalien de tout état).
La dette est un gigantesque piège illégitime. 
Tous les pays sont dans la même situation, prisonniers du même système.
Cela fait partit d’un plan , la destruction de l’État nation.
Quel piège grossier dans lequel nous somme tombés.
Après moi le déluge, et pour un crédit de plus on vendrait ses parents de nos jours !


Dette virtuelle mais économie réelle détruite pour de vrai
Mais c’est trop tard et en restant dans l’Euro jusqu’à son écroulement total ou en en partant tout de suite. 
Chaque jour amène sont lot de chômeur en plus et le pire est à venir.
Dans un cas comme dans l’autre c’est le même résultat  :  une inflation monstre.
Et le retour au Franc et aux autre monnaie nationales n’est qu’une partie de la solution qui n’empêchera pas une austérité drastique des populations avec à la clé probablement misère et pillages….
Nous vivons les pires moments de notre histoire depuis 1945, bientôt la population plébiscitera un pouvoir fort pour arriver à maintenir un semblant d’ordre.




La solution : comme Roosevelt en 1932 !
Roosevelt, le choix du travail (pas de la finance)


Pecora et le Glass Steagall Act

Ferdinand Pecora (1882-1971), inventeur du mot de bankster pour désigner les "banquiers-gangsters", était un procureur américain qui a contribué, par ses enquêtes, aux réformes qui ont suivi le krach de 1929.


En janvier 1933, Ferdinand Pecora, est chargé de rédiger le rapport final.
Le rapport montre que les banques new- yorkaises s’étaient infiltrées au plus haut niveau de l’Etat américain, finançant même les régimes fascistes en Europe.


Plus d'un an après son arrivée à la tête de la commission, une nouvelle administration est dirigée par le président Franklin Delano Roosevelt, qui incite le congrès à trouver un accord sur le Glass-Steagall Act, voté le 16 juillet 1933, et imposant une séparation, sous forme de coupe-feu, entre banques de dépôts et banques d'investissement.(wikipédia)



Il y a une seule solution juste et honnête en réponse au crime que constitue la création monétaire privée qui a favorisé le gigantisme des dettes issues de la loi de 1973 :


Prononcer un Jubilé général de toutes les dettes tant publiques que privées.


Pratiquer l’euthanasie du banquier plutôt que celle de la population c’est aussi solvabiliser immédiatement le peuple et renouer avec la croissance.


La dette est virtuelle , formatons le disque dur , effaçons les chiffres qui représentent dans la réalité l’asservissement à la dette.