mercredi 13 juin 2012

Valérie Trierweiler la nouvelle Marie Antoinette ?



La reine devient, dès l’été 1777, la cible de premières chansons hostiles qui circulent de Paris jusqu’à Versailles. 


Elle suscite les jalousies des autres courtisans surtout après avoir évincé dans sa cour les vieux aristocrates...


Elle tente d’influencer la politique du roi, de faire et défaire les ministres, toujours sur les conseils intéressés de ses amis.


« Elle ne veut être ni gouvernée ni dirigée, ni même guidée par qui que ce soit. C’est le point sur lequel toutes ses réflexions paraissent jusqu’à présent s’être concentrées. Hors de là, elle ne réfléchit encore guère, et l’usage qu’elle a fait jusqu’ici de son indépendance le prouve assez, puisqu’il n’a porté que sur des objets d’amusement et de frivolité. »


Une véritable coterie se monte contre elle dès son accession au trône, des pamphlets circulent, d'abord de courts textes pornographiques puis des libelles orduriers.


L’ampleur du déficit des finances publiques et la menace de banqueroute imminente qui pèse sur le plus beau royaume d’Europe ne faisant qu'amplifier le ressentiment.