jeudi 26 juillet 2012

La France pieds et poings liés par son "euro pour tous" qui va lui exploser à la figure






"la faillite de l'Europe viendra peut-être d'un pays qui n'est pas sur le radar, genre Finlande, et qui va décider de quitter soudain la Zone Euro à un moment où personne ne s'y attendra" (Nigel Farage)


 «S'il fallait sacrifier le franc pour un bien supérieur, je m'y plierait. Mais ce qui s'annonce est très dangereux. Au lieu de nous guérir, l'euro va aggraver le mal. Nous allons vers une crise encore plus profonde. L'Euroland est dirigé par des banquiers. Un pays abstrait avec une monnaie abstraite. Dans l'histoire, jamais une monnaie unique durable n'a existé sans être adossée à un Etat. On le voit déjà, l'euro est une monnaie génétiquement faible, dont la valeur est subordonnée au billet vert. C'est un dollar CFA».       


«Surtout, je n'accepte pas d'être considéré comme xénophobe et anti-européen. Je suis contre cette monnaie unique parce que je suis profondément européen. L'euro va tuer l'Europe». 
Bingo !
  (Philippe de Villiers fin 2001)


la zone euro trop hétérogène pour une monnaie unique

Lors de la fin de l’euro, le mark se réévaluera de 20%, le franc perdra 2%, la lire 12%, la peseta 20% et la drachme 30%


 Une étude assez détaillée et novatrice basée sur la théorie du jeu, en analysant les gains et les pertes de chaque pays européen en cas de fin de la monnaie unique. Surprise, il y aurait bien des gagnants et des perdants à la fin de l’euro. A mille lieues de l’analyse catastrophiste d’ING (qui validait néanmoins les scénarios de parité monétaire), cette analyse affirme que l’Allemagne pourrait perdre 7% de PIB, du fait de pertes d’exportations.

A l’inverse, les pays en déficit qui dévalueraient, gagneraient, avec l’Irlande en pôle-position et un gain de 7% de PIB, puis l’Italie, avec 3%. Merrill Lynch estime également que la Grèce ferait des économies sur le coût de la dette (sans prendre en compte la possibilité de monétisation) et que l’Allemagne y perdrait son statut de pays refuge de la zone euro. En fait, pour la banque, tout dépendra de la capacité de l’Allemagne à convaincre l’Italie de rester, outre un gros risque en Grèce. 


http://www.marianne2.fr/Quand-les-banques-enterrent-l-euro_a221022.html


http://www.u-p-r.fr/actualite/monde/hollande-boeuf-sommet-europeen-juin

Aucun commentaire: