jeudi 12 juillet 2012

Thomas Hollande relance la guerre Trierweiler Royal

C'est la guerre totale entre les "valériens" et les "ségoliens" et ça date pas d'hier !


Les scènes de famille recomposée et décomposée ; les tribulations déplacées de Valérie "rottweiler" "twitterweiler" Trierweiler, Ségolène, François "normal" et fils,  alors que PSA annonce la fin de 8000 emplois, ça frise l'indécence pour ne pas dire plus, surtout pour des gens dits normaux ! 
Pensent-ils vraiment tenir comme ça pendant 5 ans...


Droit à la parole équitable
Le camp "Hors Elysée" (progéniture & co) est légitime en posant le fait qu'il a droit au chapitre, refusant ainsi le privilège pervers de "la tweeteuse" aux 2 casquettes (journaliste et compagne) d'instrumentaliser à son seul profit, et de livrer sa seule version. 






Croc en jambe ...
...avant la rédemption du 14 juillet sur médiatisée de Valerie Trierweiler, belle mais pas charmante.
Avertissement avant l'interview du 14 juillet afin que les questions qui fâchent soient clairement posées : 
- bureau à l'Elysée avec obligation de réserve et respect, par le mutisme, du chef de l'état et de ses concitoyens.
- sortie définitive des écrans cathodiques et du cabinet de l'Elysée du rottweiler en disgrâce. 


Indignation contre productive
Que le fils de F Hollande ait des états d'âme est compréhensible, qu'il vienne en parler publiquement tout en dénonçant l'étalage médiatique de vie la privée de son père c'est contradictoire. 
Il relance une affaire qu'il aurait mieux valu laisser se décanter. 
Il agit exactement comme a agi Valérie Trierweiler, tout en la dénonçant. 


Famille maudite
Après la compagne bafouée, c'est donc Thomas Hollande, le fils du "royal hollandais" qui s'y colle.
 François Hollande ne méritait pas cela, car c'est offrir aux deux droites un angle d'attaque alors qu'elles peinaient à en trouver un. 
Le Tweet se révèle comme une bombe à sous munitions, dont une partie des éléments explosent en différé. 


La bombinette de Ségolène ? Ségolène Royal le 13 juin 2012 à La Rochelle

La présidente socialiste de la région Poitou-Charentes assure n'avoir «rien demandé» en vue de nouvelles fonctions.

Ségolène Royal a déclaré mardi sur RTL n’avoir «rien demandé» pour obtenir de nouvelles fonctions, tout en indiquant «imaginer» qu’on lui en proposerait un jour. «Je n’ai rien demandé», a déclaré la présidente de la région Poitou-Charentes, en assurant qu’elle s’impliquait «plus que jamais» dans ses fonctions actuelles.
«J’ai vu que tous les jours pratiquement, on me prête une nouvelle fonction», a-t-elle ironisé, en réponse à une question sur l'éventualité d’une nomination à la tête de la future banque publique d’investissement souhaitée par les socialistes. Toutefois, a-t-elle ajouté, «le moment viendra où je serai utile dans la fonction qui me sera proposée».
Cela aura lieu ?, a insisté le journaliste. «J’imagine», a répondu Ségolène Royal sans vouloir en dire davantage.
La présidente de la région Poitou-Charentes n’a pas voulu non plus revenir sur sa défaite aux législatives à La Rochelle, ni sur le tweet de soutien de la compagne du président Hollande, Valérie Trierweiler, à son rival, Olivier Falorni. «Je ne veux pas commenter (cette affaire). Elle a déjà été assez pénible à vivre».


Il faut mieux laisser Thomas le faire, l'impact sera plus grand sur François...


Dans 100 ans, le sucesseur de Stéphane Bern présentera "Secrets d'histoire : le Président François Hollande et ses femmes". 
Dans la pure lignée des François 1er, Louis XIV et tant d'autres de nos rois glorieux et leurs célèbres favorites.



La riposte (acte II)
Ségolène veut sa revanche, et ses enfants aussi : acte II de la guerre, on a mis François Hollande en demeure de clarifier la situation de sa maîtresse en titre, qui ne peut tout à la fois être journaliste et bénéficier d'une équipe de six secrétaires à l’Élysée, payés par le "con-tribuable", comme c'est le cas actuellement ! Thomas a dit très justement que c'était un abus de bien public. 
On attend les explications de François Hollande le 14 juillet : affaire à suivre...



Aucun commentaire: