dimanche 19 août 2012

100 jours après l'élection de François Hollande

"A l’inquiétude des patriotes devant l’attitude du roi s’ajoutait la crise économique. L’approvisionnement en grain de la capitale était difficile, en effet les calculs des spéculateurs et la peur de manquer favorisait la constitution de stocks. Le pain montait à treize sous et demis les quatre livres, le numéraire était rare et le chômage, de part l’émigration de plusieurs familles nobles, frappait tous les ouvriers de l’artisanat de luxe et les domestiques. Chaque jour, des nouvelles plus ou moins extravagantes dénonçaient les intrigues des aristocrates et les manœuvres anti-révolutionnaires de la cour. Le 5 octobre 1789, 7000 à 8000 manifestants, des femmes en très grande majorité, marchent sur Versailles Les femmes de la Halle de Paris qui avaient pris l’initiative d’aller chercher le roi à Versailles ont eu gain de cause. La tête couronnée de lauriers elle crient "Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron  !" 



DEUX TRAITES POUR COULER L’EUROPE



QUELS QUE SOIENT LES AUTEURS , ILS SONT CONVAINCANTS

Socialistes

A partir de leur arrivée au pouvoir en 81, les socialistes ont beaucoup détruit : libéralisme forcené à partir du tournant de 83, destruction radicale de l’école républicaine réalisée par le tandem Jospin-Allègre. Rappelons aussi l’apparition sur la scène médiatique des "nouveaux pauvres" et des Restaurants du coeur, à peine quatre ans après leur arrivée au pouvoir.

C’est normal. L’objectif des socialistes français n’a jamais été de gouverner, mais de jouir le plus longtemps possible du pouvoir et de ses prébendes. Leur seule action n’a jamais été que de l’ordre de la propagande et du bourrage de crâne, où il faut leur reconnaître une certaine habileté. Mieux que pesonne, ils savent que les Français sont des veaux et que l’usage du chlorophorme idéologique est toujours très efficace. Les bonnes paroles chez eux sont "comme l’huile dont on graisse les bistouris".
On l’a bien vu au moment de l’élection de Normal Ier.

Il leur sera difficile de continuer à jouir du pouvoir pendant près de cinq ans et de maquiller jour après les jours les mesures imbéciles qu’une prodigieuse incompétence -laquelle n’est plus à démontrer - leur inspirera. Si les Français ont encore un peu d’énergie, ils susciteront une crise majeure qui, sur un certain nombre de dossiers, les obligera à remettre à l’heure les pendules. L’automne sera très chaud et je me demande déjà s’ils passeront l’hiver.



François, pour quoi faire ?
J’ai longuement hésité entre flamby et l’excité au second tour...

Pourquoi ?

Partagé entre une curée rapide et bien ressentie par les moutons,
histoire de les confronter aux réalités plus vite,
pour les obliger à réagir
ET
la possibilité que ces mêmes moutons comprennent en un quinquennat ce que sont réellement les fauxcialistes...

Quoiça ?

Ah non,
ne vous méprenez pas,
je ne suis ni endormi par les mensonges de l’Union de Menteurs Populistes,
ni signataire de la charte ’ sociale ’ des fauxcialistes
( je rappelle d’ailleurs encore une fois à toute fin utile que la charte de leurs primaires fut le plus grand hold-up idéologique jamais réalisé... ),
L’analyse factuelle de notre situation mise en face des programmes ne laissait qu’une seule possibilité de vote cohérent au premier tour...

Bref,
pour en revenir à mon dilemme de second tour,
comment pouvoir parier sur ’ l’éveil ’ des moutons en moins de 5 ans ?

Et puis la réponse est venue toute seule,
en constatant que les ’ taux ’ de crédibilité de la médiacratie et de ses organes de ’ diffusion ’ étaient en chute libre,
en constatant que le oueb était de plus en plus prépondérant dans les sources d’information alternatives,
en constatant que finalement,
même si les moutons ont bien été conditionnés par la médiacratie et les politocs,
évinçant par là-même le seul programme qui défendait leurs intérêts,
ils sont aux faits...
Aux faits des réalités,
et ces réalités vont se rappeler à eux très très vite,
tant socialement que financièrement...
Tant fiscalement que humainement.

La médiacratie,
à force d’ostracisme,
ne va que toujours plus se discréditer,
amenant chacune et chacun à s’interroger,
à chercher ailleurs des réponses,
à remettre en cause tant leur utilité que leur légitimité.

100 jours ?
Attendez la rentrée 2013...

Aucun commentaire: