jeudi 30 août 2012

François Hollande change de stratégie : c'est la faute de la crise


La crise n'explique pas l'impopularité

Il ne doute de rien, le président normal et certainement pas de lui même, il n'a pas compris ou il refuse de comprendre que la baisse de sa popularité dans les sondages est surtout due à lui même, à sa mollesse, à son inertie, à son incompétence, à ses mauvaises décisions.
La crise, il l'a niée, criant au mensonge, tout au long de sa campagne, affirmant que c'était un prétexte de Nicolas Sarkozy, prétexte qu'il reprends aujourd'hui à son compte.

Cinq années de critiques destructives, sans aucune proposition ; 100 jours utilisés à tout détruire ; et maintenant la crise est le prétexte à l'incapacité de gouverner. Mais la crise elle n'est pas arrivée avec les grêlons des récents orages. Elle était bel et bien présente durant la gouvernance de son prédécesseur. Seulement, lorsque l'on passe son temps à critiquer sans jamais rien proposer...

Le roi des reniements

Il s'est fait élire en promettant la relance, sitôt lui président. Il s'est fait élire sur des promesses qui sont fausses, telle la fameuse : Seuls les riches paieront. Il chute dans les sondages parce qu'il avait promis de faire plier les dirigeants européens, et qu'il a capitulé en rase campagne sans aucune condition.

Hollande pour devenir calife a tout promis, mais en quelques mois, les Français ont perdu leurs illusions, et ils portent un jugement sévère sur celui qui les a roulé dans la farine. Moi président, je ferai, nous montre chaque jour qu'il ne fait pas grand-chose.

Emplois bidons 

En conduisant par idéologie une politique inverse à celle qu'il avait promis, Hollande entraîne la France dans le nouvel ordre économique mondial imposé par les pays émergents. Les 150 000 emplois aidés que veut créer Hollande sont l'exemple typique de la mauvaise politique qu'il mène.

Ces emplois iront grossir pour 80 % les rangs des administrations et des associations, ce qui revient non seulement à financer à 100 % ces emplois, mais en plus à alourdir les charges de la nation, donc la dette. Hollande est donc plus malin pour faire de la politique politicienne, que pour conduire le pays vers un renouveau économique.

L'arlésienne socialiste, c'est à dire la relance est en panne complète du fait de l'incurie proverbiale des socialistes qui croient que c'est avec des incantations qu'elle va se produire. La vérité, le courage, l'audace, l'imagination ne sont pas les hôtes de l'Elysée.

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