jeudi 25 octobre 2012

Le prix de la trahison : 46.000 € par mois pour Papandreou

Le prix Nobel de l’infamie 2012 est attribué à M. Papandréou pour sa reconversion comme professeur à Havard remunéré 46.000 €/mois 

L’UPR ATTRIBUE LE PRIX NOBEL DE L’INFAMIE 2012 À M. GEORGES PAPANDRÉOU, ANCIEN PREMIER MINISTRE GREC, « POUR L’ENSEMBLE DE SON ŒUVRE ET POUR SA RECONVERSION RÉCENTE COMME PROFESSEUR A HARVARD RÉMUNÉRÉ /MOIS ».
On a appris ce soir (23 octobre 2012) que M. Georges Papandréou, ancien premier ministre grec et toujours député du Parti socialiste (PASOK) à Athènes, va désormais donner des cours dans la prestigieuse université de Harvard (Massachusetts, États-Unis d’Amérique).
L’objet de ces cours sera de présenter aux étudiants son expérience de la crise économique et politique sans précédent, dont il a été le principal responsable pour son propre pays.
Selon la presse grecque, le salaire de ce nouveau professeur d’un type particulier sera de 46 000 € par mois.
Rappelons que M. Georges Papandréou, après avoir été dirigé la Grèce du 6 octobre 2009 au 11 novembre 2011, a laissé son pays dans une situation économique, financière et sociale tellement catastrophique qu’il n’en existe pas d’autre exemple dans l’histoire de la Grèce depuis la Deuxième Guerre mondiale.
Pendant que M. Papandréou va cumuler son salaire de député socialiste avec ses revenus de professeur de l’université de Harvard à 46 000 € par mois :
- l’économie grecque va connaître sa 6ème année consécutive de récession,
- les services publics sont en passe d’être quasiment entièrement privatisés en des mains étrangères,
- tous les acquis sociaux obtenus par les travailleurs grecs au cours du XXe siècle sont démantelés les uns après les autres,
- le patrimoine public du pays est vendu à l’encan et le gouvernement grec envisage même d’organiser la déportation de populations établies dans des îles de la mer Égée, afin de vendre celles-ci à des fonds d’investissement et à des établissements financiers anglo-saxons,
- le taux de chômage de la population grecque a atteint les 25 %,
- un nombre considérable de retraités ont vu leur maigre pension amputée du tiers ou de la moitié, et parfois même purement et simplement supprimée,
- la clochardisation de l’ensemble de la société grecque se poursuit à vive allure, de même que la montée en flèche de la pauvreté,
- la consommation d’antidépresseurs et les soins psychiatriques connaissent une hausse vertigineuse à travers tout le pays,
- le taux de suicides a augmenté de +18% en 2010 et encore de 25% en 2011. La Grèce est ainsi le pays au monde qui connaît la plus forte augmentation du nombre de suicides. La Grèce était un pays heureux avant l’euro puisqu’il avait jusqu’à récemment le taux de suicide le plus bas de tous les pays européens. Il est en passe de devenir l’un de ceux où il est le plus élevé.
Pour l’ensemble de cette œuvre remarquable, et pour le merveilleux cynisme dont fait preuve cet homme, qui se sert de la détresse humaine et de la misère épouvantable dans laquelle il a plongé tout son peuple pour engranger une fortune à titre personnel, l’UPR a décidé d’attribuer son Prix Nobel de l’Infamie 2012 à M. Georges Papandréou, politicien de nationalité grecque, « Européen convaincu » né le 16 juin 1952 à Saint Paul, États-Unis d’Amérique, et actuellement président en exercice de l’Internationale socialiste, dont fait partie le Parti Socialiste français

Exemple de trahison signé PASOK (parti socialiste grec) :

 Romaric Godin | 24/02/2012 
C'est peut-être un scandale d'ampleur européenne qui couve actuellement dans le bureau du procureur d'Athènes : le gouvernement de Georges Papandréou aurait invité l'Elstat, l'institut statistique grec, à surestimer le déficit 2009 pour mieux faire passer les réformes auprès du peuple grec.


Révélations !
L'affaire a débuté en septembre dernier lorsqu'une employée de l'Elstat, Zoé Gorganta, a révélé que le chiffre du déficit public de 2009 avait été gonflé artificiellement lors de sa révision à la hausse en novembre 2010 de 13,6 % à 15,4 % du PIB. Selon cette employée, qui a été immédiatement licenciée, ces chiffres auraient été aggravés à dessein afin que le déficit grec dépassât celui de l'Irlande, devînt ainsi un record dans la zone euro et pût faciliter dans les esprits grecs l'acceptation des mesures d'austérité douloureuses proposées par le gouvernement.


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