lundi 10 octobre 2016

Policiers attaqués dans l'Essonne : un agent entre la vie et la mort

Policiers attaqués dans l'Essonne : un agent entre la vie et la mort

Le Général Bertrand Soubelet à témoigné le 18 décembre 2013 de la déliquence qui gangrénait notre pays, il a même témoigné à l'assemblée nationale (vidéo ci-dessous) quelle à été sa récompense d'autant de courage ? Il a tout simplement été débarqué de la gendarmerie nationale, belle manière de casser le thermomètre pour nier que le patient à de la fièvre, on peut aussi remercier Mr Nicolas Sarkozy d'avoir démantelé les polices de proxymités, qui maintenait un lien social dans les cités.

Amicalement,

f.


Audition du Général Bertrand Soubelet, dir... par assemblee-nationale-fr

Deux policiers ont été sérieusement blessés, et deux autres plus légèrement, ce samedi dans le quartier de la Grande borne, entre Viry-Châtillon et Grigny dans l’Essonne. L'équipage qui se trouvait dans un véhicule de police était chargé de la surveillance d'une caméra vidéo près d'un feu rouge à Viry-Châtillon. Une dizaine d'individus s'en sont pris à eux avec des jets de cocktails Molotov. 

Le pronostic vital est "engagé" pour l'un des quatre policiers, a fait savoir dimanche le procureur local. Adjoint de sécurité de 28 ans du commissariat de Savigny-sur-Orge, il a été "très grièvement brûlé aux mains et sur l'ensemble du corps" et plongé dans un coma artificiel.

Les médecins ne pourront se prononcer que "dans un délai de 48 heures" sur ses chances de survie.

La seconde personne sérieusement blessée est une gardienne de la paix de 39 ans. Elle "est très grièvement brûlée aux mains et au visage", a précisé le procureur, mais "son pronostic vital n'est pas engagé". Elle se verra prescrire au moins trois mois d'ITT (incapacité totale de travail). les deux autres policiers blessés (une femme de 28 ans et un homme de 38 ans) vont subir une ITT de 21 jours.

Les deux voitures de police attaquées ont été incendiées et détruites. "On peut penser que c'était organisé et prémédité", a déclaré le directeur général de la police nationale, Jean-Marc Falcone. D'importants renforts de police ont été envoyés sur place, mais aucune interpellation n'a été opérée à ce stade.

 

Source(s) : Le Figaro.fr via Atlantico.fr

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